Romain Gary imagine un subterfuge littéraire en créant Emile Ajar. L’anonymat devient pour lui une façon de se réinventer.
Tel un parfum caméléon Ajar est une histoire d’incarnation. La noirceur de l’encens se mêle à une éblouissante orchidée. Une ambivalence exprimant le paradoxe de la personnalité. Une sorte de jeu d’ombre et de lumière présent en chaque individu.